Dans un arrêt du 23 février 2013, la Cour de Cassation a validé un licenciement pour faute grave, en posant le principe selon lequel « (…) une telle utilisation d’internet (…) pendant son temps de travail présentait un caractère particulièrement abusif et constitutif d’une faute grave ». Dans le cas présent, le salarié avait consulté plus de 10 000 pages internet en moins de 20 jours.