La salarié qui, pendant son temps de travail, utilise de manière intensive l’Internet de l’entreprise à des fins personnelles comme une faute, même si cet usage est sans conséquence pour l’employeur. Son licenciement n’est donc pas dépourvu de cause réelle et sérieuse.
→ Dans cette affaire, le salarié avait adressé à ses collègues, à partir de l’ordinateur de l’entreprise mis à sa disposition, 178 mais personnels.